Selon le dernier bilan de la de la Direction générale des transports terrestres du Congo pour le premier semestre 2010, le pays déplore un mort tous les deux jours dans les accidents de la route. Rapporté au nombre d’habitant, ce chiffre élevé est sensiblement le même que pour les pays voisins.
A cela, trois raisons principales : le manque d’infrastructures (à peine un peu plus de 10% du réseau routier qui ne représente que 13 000 km environ est goudronné, et la signalisation reste encore très insuffisante), l’incivilité et le manque de formation des conducteurs (beaucoup possèdent des permis falsifiés, la plupart des autres passe l’examen sans avoir pris de leçon de conduite dans un centre agréé) et l’état de vétusté des véhicules dont beaucoup viennent d’Europe par cargo avec un kilométrage déjà très élevé au compteur.
Et maintenant, où voulez-vous aller ?

Les laveurs de linge du Banco, un pressing à ciel ouvert.

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Embouteillages, insécurité, incivilités, infrastructures insuffisantes : rouler au Congo n'est pas une mince affaire.

Comme dans toute l'Afrique, la Chine est devenue ces dernières années un partenaire commercial de premier ordre au Congo.

L'école de peinture de Poto-Poto a acquis une renommée qui dépasse les frontières du Congo.

Avec la présence française, la royauté s'est éloignée du pouvoir, mais elle n'a pas disparu pour autant.

Lors des rites et cérémonies, il est de coutume d'allumer un feu, à la fois purificateur et propice à la communion avec les esprits.

Autrefois adossé à une compagnie de BTP dont il tire son nom, le marché Dragage déploie ses étals à la nuit tombée.

Venez vous faufiler dans les coulisses d'un défilé de mode à Brazzaville.
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